Marseille bouche de vieille
Imprimer et éditer un roman. Un Polar, pas trop noir, juste ce qu'il faut pour qu'on puisse espérer... Où ? A Marseille bien sur..
YESSSSSS FRERO !!!!!! FELICITATIONS - IT'S DONE ^^ J'ai hâte de voir le produit fini ! Bises
j'ai hâte de lire le livre et de boire un verre dans un des lieux du roman. bravo, j'ai lu quelques bribes sur facebook et cela donne envie d'en savoir plus! bise marseillaise
Wouh Ouh !!!!! Les 50 % sont dépassés !!!! Bravo Jean ;D
Bravo, Jean-Marie, je crois que tu a ce don pour les romans policiers et ça devrait marcher ! Bon courage . Patrice et Ginette .
Je me suis trompé, je voulais verser 50 euros au lieu de 30 ! J'ajoute la difference ! Bon courage tu es sur la bonne voie . On t'embrasse . Ginette et patrice
Bouche de vielle? Kézako? Va falloir que je lise ce truc pour en savoir plus. Bon courrage, tu tiens le bon bout... Karion&co
A fond Jean-Marie, Je te souhaite tout plein de bonnes choses pour ce beau projet. J'adore !!! Djim...
bouche de vieille toi-même...signé:la bouche de vieux, plutôt carnivore hilare: la bouche...rie (ou rit) à Esclangon-city.Tu m'auras reconnu...
Ach ! Si seulement mes enquêtes avaient pu être écrite par vous Herr Plume... Inspektor Derrick.
BONNE REUSSITE POUR TON PROJET
Quand j’ai rencontré Plume pour la première fois, c’était à St Marthe. Dans une espèce de prairie comme seule Marseille sait les faire. Entre les barres d’immeubles, la vue sur la mer et un bâtiment à la fois en ruine et éternellement en construction, un troupeau de chèvres... C’était un genre de festival d’une asso dont j’ai oublié le nom qui défendait les espaces naturels encore présents au coeur de la ville. A ce moment là, je kiffais déjà bien sa soeur. Quand je l’ai vu, un haut de forme vissé sur la tête et un keffieh “noir et blanc et gris” autour du coup arrivant du bâtiment susnommé et s'écriant: - “wa trop bien, ils font un spectacle sur le toit, faut monter avec des cordes, j’y retourne!!” j’ai compris que ça serait un peu plus que “Mon beauf”, et pas seulement parce qu’il connaissait tout Brassens et Renaud. Bon vent à ton roman que j’ai dévoré. Vivement le prochain. Loïc “Roberto Patato Valdes de la Mancha”
Vieux motard que jamais.... allez fait nous rêver et peur sur Marseille... j'ai hâte de te lire... c'est très chouette cette idée Jacques